Iată ce ascund Traian Băsescu și camarilla sa din parchete sau servicii secrete
Vă prezentăm în continuare, în serial, una dintre cele mai complexe documentații referitoare la crimă organizată și terorism, derulate de celebrul traficant de armament Viktor Bout și complicii săi. Reamintim că celebrul Bout a fost prins de autoritățile americane, judecat și condamnat la 25 de ani închisoare de abia după ce serviciile secrete române (partenere de trafic cu armament ale lui Viktor Bout) l-au trădat. Parchetul General și serviciile secrete române au deschis cu această ocazie dosarul strict secret de importanță deosebită 628/D/P/2005, care și astăzi este ținut la sertarul cuplului Băsescu-Kovesi. Dosarul Armamentul, cum este acesta cunoscut a fost disjuns în 4 iulie 2005, din dosarul Răpirea din Irak și conține date importante din dosarul Îigareta 2. Inclusiv Anexa S207 a dosarului Țigareta 2, secretizată abuziv de Palatul Cotroceni. Ce ascund complicii români ai lui Viktor Bout ? Veți afla în continuare. Din păcate, informațiile ne-au fost furnizate în limba franceză, neavând timpul necesar traducerii.
Eduard Ovidiu Ohanesian
Episodul 6
Dans toute la saga de Viktor Bout, il existe un autre chargement qui est très représentatif de l’ineptie qui a prévalu à une époque (et encore maintenant) au sein du Pentagone. C’est à l’époque des soviétiques que ça se passe, et les avions de Viktot Bout sont réquisitionnés pour apporter discrètement aux chefs de guerre afghans des armes pour abattre les hélicoptères russes. L’arme ultime : un lance-missile tout nouveau capable de toucher au but à coup sûr. Le Stinger, il s’appelle. Pourquoi charge-t-on Viktor Bout de ce genre de basse besogne ? Car officiellement, ce ne sont pas les Etats-Unis qui les ont fournis pardi… mais tout ne va pas se passer comme prévu… les russes partis en 1989, il en restait énormément sur place, de ses missiles. Et avant d’intervenir en Afghanistan, ce que les américains rêvaient de faire, il fallait songer à les… ramasser, de peur qu’ils ne servent contre les hélicoptères américains. Alors, le Pentagone va décider cette chose incroyable : après les avoir offerts, il va proposer de les… racheter. Au prix fort. Sans que le pays ne le sache…
En Irak, les activités de Bout sont pourtant clairement établies. 190 atterrissages (au moins) de ses appareils ont été répertoriés à Bagdad, au service de la coalition. Le gouvernement anglais étant le signataire des contrats : „Jet Line International, la société utilisée par le DFID (Department for International Development, lié au ministère des affaires étrangères) en Irak, est un transporteur de fret aérien avec des bureaux en Ukraine. L’aviation civile Les notices d’autorité montrent que Jet Line a transporté des véhicules blindés à Bagdad pour le DFID. Le lot a quitté Manston, l’aérodrome du Kent en mars sur un cargo Ilyushin ill-76 ne portant aucun marquage d’entreprise. La compagnie aérienne est censée avoir été identifié comme une entreprise de Victor Bout dans une lettre d’avertissement distribué aux postes diplomatiques par le Département d’Etat américain en juin de cette année. (…)Trois semaines avant le vol Bagdad, le 27 février de cette année, le DFID a engagé un deuxième société, Aerocom,pour amener des tentes au Maroc après un tremblement de terre. Aerocom, basée dans l’ex-République soviétique de Moldavie, a également décollé à partir de Manston. L’entreprise, qui est également connue pour avoir travaillé avec plusieurs opérateurs, y compris Jet Line, a été nommée dans un rapport de sécurité de l’ONU d’avril 2003 comme étant impliquée dans les activités illégales, la contrebande ou le trafic de lanceurs de missiles, de grenades, de fusils automatiques de la Serbie au Libéria”. Les deux entreprises ont été embauchés pour le DfID par Air Charter Service (ACS), basé à Kingston, dans le Surrey. Des Illyushin sans marquage extérieur, voilà qui n’est pas sans nous en rappeler d’autres…
Côté américain aussi Bout est de la fête : „L’armée américaine et les milliers d’entrepreneurs privés engagés pour restaurer les infrastructures en ruine de l’Irak ont besoin des fournitures nécessaires pour leur mission. À l’été, les Antonov sont en train de rugirur l’aéroport couvert de de cratères de Bagdad, transportant de tout, des tentes aux lecteurs vidéos en passant par les véhicules blindés et des kalachnikovs rénovées. Mais dans un embarras visible, les responsables américains ont appris plus tard que de nombreux avions russes ont été exploités par des sociétés travaillant pour Viktor Bout. Ses avions volaient pour des expéditions express pour l’US Air Force, des tentes pour l’Armée de terre, et l’équipement de terrain pour le pétrole et de personnel de KBR, une filiale d’Halliburton. Dans les mois qui ont suivi, l’entreprise phare de Bout a effectué des centaines de sorties dans et hors de Bagdad, en gagnant des millions de dollars sur le dos des contribuables américains”. Farah parle d’un embarras découvert plus tard : cela semble difficile à croire ; les américains ont travaillé avec lui pendant plus de dix années déjà… et savent très bien comment il maquille ses appareils en en changeant régulièrement l’enregistrement : c’est comme ça qu’ils livraient Massoud sans laisser de traces de leur implication directe : Victor Bout, ce n’était rien d’autre qu’un Air America d’une dimension supérieure !
Mais Lee Scott Wolosky a perdu la mémoire. Il ne sait plus qu’en 2005, pourtant, un de ses supérieurs au sein du gouvernement de G.W.Bush, et pas des moindres, avait pourtant reconnu l’implication de Bout dans ses transports pour l’armée, en y mettant les précautions dont on se doute. „Dans une lettre de janvier 2005 au Congrès, l’adjoint au secrétaire à la Défense Paul Wolfowitz, avait admis que le ministère de la Défense a faire des affaires avec des entreprises qui, à leur tour, on confié en sous-traitance des travaux à des fournisseurs de second rang qui ont loué des appareils appartenant à des entreprises associées à M. Bout. Les responsables de la défense se sont occupés depuis à faire en sorte que les avions de Viktor Bout ne volent plus pour les États-Unis”, écrivait-il. „Neuf jours après la lettre de Wolfowitz lettre, un appareil que contrôlait Viktor Bout se posait à Mossoul, en Irak, selon les auteurs du livre”.
Quatre ans avant le 11 septembre, Viktor Bout est partout et transporte de tout avec sa flotte d’une cinquantaine d’avions déjà . il quitte sa base d’Ostende à la même époque et commence à se créer un empire véritable, profitant de toutes les occasions pour empocher de l’argent : „toujours en 1997, Bout monte une base dans un camp d’aviation abandonné à Pieterburg, en Afrique du Sud. Il construit une usine réfrigérante pour surgeler des poulets : un poulet surgelé coûte un dollar au kilo en Afrique du Sud et 10 dollars au Nigeria. Et c’est tout un tourbillon de compagnies : en août 1997 est créée Air Cess Swaziland qui fusionne avec un consortium local, AirPass. En 1998 est enregistrée en Guinée Equatoriale Cessavia, pendant que naît en République Centrafricaine Central African Airways. Toujours en 1998 apparaît à Alma Ata, au Kazakhstan la Irbis, une compagnie cargo qui n’a pas d’avions mais utilise seulement des transporteurs de Air Cess. Il y a ensuite Transavia Travel Cargo, Santa Cruz Imperial, Flying Dolphin, San Air General Trading ( la plus grande partie des informations sur cette compagnie sont tirées du rapport de l’ONU sur le rôle des transports dans la violation des sanctions contre l’Unità en Angola, rapport du 21 décembre 2001). Selon la Komsomolskaya Pravda( du 2 février 2002), la flotte de Bout comprendrait une soixantaine d’avions cargo. En 1997, c’est Bout qui évacue au Maroc le dictateur déchu du Zaïre, Mobutu Sese Seko. En 1999, en plus des glaïeuls à Dubaï et des poulets congelés au Nigeria, il transporte aussi des troupes du contingent de paix de l’ONU au Timor”.
Difficile en ce cas d’ignorer ce qu’a fait Bout, et c’est aussi ne pas savoir comment USAID a acheminé pendant des années des vivres (et des espions !) comme je vous l’avais déjà dit, preuves photographiques à l’appui : „Sur un aéroport des émirats, on trouve donc logiquement des cartons d’USAID, manipulés par des soldats américains, pour être chargés à bord d’un drôle d’avion : un Ilyushin 76 d’Air Almaty, du nom de la capitale du Kazakhstan. Un avion conçu spécialement pour transporter… des chars. Sous son autre nom d’Irbis Air, on trouvait des avions d’Air Almaty, en réalité des avions de Victor Bout, dont les hangars (à Almaty !) jouxtent ceux de la firme nationale. Lui se promenait alors en Ouganda sous le nom d’Air Cess avec ses Ilyushin Il-18Gr, souvent aperçus à Djibouti. Bout faisait aussi souvent voler des vieux 727 Cargos, comme le UN-B2702, discrètement ciglé „cargo-cargo” et souvent aperçu à Sharjah, sa base de départ. C’était bel et bien un cargo appartenant à Victor Bout. Dont les avions ont donc aussi souvent véhiculé de l’USAID”. Parmi ces avions, le „célèbre” Antonov 12B, immatriculé 11007, d’East Wing, autre société écran de Victor Bout, employée régulièrement par… l’ONU.
„Il avait donc certaines qualités. Au moment où le Mur de Berlin tombait, il a acquis ces gros porteurs de l’armée soviétique, qui se vendaient pour peu cher à un moment. Et il a eu ce coup de génie d’aller en Angola pour une opération des Nations unies. Et il a donc fait voler ses gros porteurs, car l’Angola était alors le seul pays qui enregistrait ces avions comme appartenant à l’aviation civile. Et c’est comme ça qu’il a fait ses premiers millions” dit Stephen Smith. De vrais caméléons, ses appareils, tel celui-là : vu à Sharjah en 1999, et devenu 3C-OOZ deux ans plus tard. Repeint en Air Cess sous le numéro RA-12975 (et devenu Bulgare !), qui a fini sa carrière au Mukalla Airport, au Yemen (tiens tiens !), le 31 mars 2005, fortement endommagé et devenu irréparable. Sept tonnes de poisson fichus. Le poisson, moyen idéal de dissimuler…. de la drogue ! Des Antonov repeints, démontés, remontés, cannibalisés, devenu de vrais Frankenstein volants, faits de pièces détachées éparses remontées à la va-vite. Résultat, au bout des crashs mémorables, invariablement, tant les engins sont dans un piteux état. „En résumé, la Compagnie russe East Wing a fait voler pendant un an au moins un avion sous un faux numéro. Et tout le monde, y compris les Nations Unies, s’en doutait. L’avion avait aussi volé en prime pour la Lybie, sous le registre de Buraq Air Services. GST Aero étant l’une des dernières compagnies à faire voler des BAC-111, comme celui dans lequel on avait harnaché sur chaque siège des caisses de Kalachnikovs”.
Oublier USAID, et oublier aussi…. Massoud ! Qui avait livré et ravitaillé en armes le chef de la des moudjahidines du Nord ? Victor Bout ! Des voyages obligatoirement payés par… les Etats-Unis ! Car les fameuses caisses de missiles Stinger reçues par Massoud et ses acolytes chefs de guerre locaux comme Abdul Rachid Dostum, c’était lui qui les avaient transportées ! Dans l’ouvrage Ghost War, Steve Coll, prix Pulitzer, évoque la gestion catastrophique de ces Stingers amenés par les Antonovs de Bout. Une énorme gabegie et un autre détournement de fonds publics, encore une fois… Les américains ont tout d’abord donné les missiles aux afghans, pour les racheter plus tard, et bien plus cher ! „La CIA a fourni aux rebelles afghans des centaines de Stingers pour abattre les hélicoptères soviétiques et les avions de transport, entre 1986 et 1989 (…) Leur puissance a semé la peur au sein de milliers de piloteset de troupes russes. Après que les troupes soviétiques aient quitté le pays la CIA a craint que les Stingers soient achetés en masse par des groupes terroristes ou des gouvernements hostiles tels que l’Iran, pour en faire usage contre les avions américains transportant des passagers civils ou militaires” indique Coll.
Il fallait donc faire quelque chose. D’abord les rechercher … ces fameuses boîtes, et ensuite les racheter, via l’intercession de l’ISI pakistanaise, c’est ça la révélation étonnante : „entre 2 000 et 2 500 missiles avaient été donnés par la CIA aux rebelles d’Afghanistan pendant la guerre. Beaucoup étaient allés aux chefs de guerre associés aux dirigeants islamistes radicaux anti-americains .Quelques missiles avaient déjà été acquis par l’Iran. Le président George H. Bush et plus tard président Bill Clinton ont donc autorisé un programme hautement classifié autorisant la CIA à en racheter le plus possible, car disséminés un peu partout. le Congrès l’a approuvé en secret et a offert des dizaines de millions de dollars pour soutenir ces achats. Le programme a été piloté par le Near East Division of the CIR’s Directorate of Operations, qui a supervisé le tout via la station d’Islamabad. La tenue de dossiers détaillés fondée sur les numéros de série des missiles a permis à la CIA de rester assez proche du nombre de Stingers remis au départ. Mais une fois que les armes ont atteint l’Afghanistan, on en a perdu la trace. En 1996, la CIA estimait qu’environ six cent Stingers étaient alors en fuite…” quand on entend ça, on se dit que rien n’a changé depuis 1996 : quand le général Petraeus décide d’armer les milices sunnites, en 2007, il leur donne des armes sans numéros… „un pari risqué” note la presse. Aucune comptabilité sérieuse ne sera faite de ces distributions d’armes. Le 6 août, au même moment, on apprenait justement que le Pentagone avait perdu la trace de 190 000 armes destinées à être distribuées à la police irakienne, de 2004 à 2005. Ce qui avait fait dire à Rachel Stohl, une analyste du Center for Defense Information que „cela signifieprobablement que les États-Unis ont involontairement fourni des armes aux mauvais acteurs… mais qui arme qui, dans ce fichu pays ?
A la fin des années 90 les Stingers ont été quand même récupérés, en définitive, mais à quel prix ! „Ce programme de rachats est allé plus loin encore”, nous précise en effet Coll : „le programme a évolué ensuite en une sorte de suite de Guerre Froide avec enchères financières pour les seigneurs de guerre afghans. Le taux de rachat par missile variait entre 80 000 et 150 000 dollars pièces. Le service de renseignement du Pakistan (l’ISI) a traité la plupart des achats sur une base de sous-traitance pour la CIA, en profitant au passage pour prendre une commission sur chaque missile collecté. En partie parce que la puissance aérienne ne figurait pas beaucoup dans la guerre civile qu’a connue alors l’Afghanistan (en 1996), les chefs de guerre se sont révélés prêts à vendre leurs missiles. Le total des dépenses en espèces par la CIA sur les rachats des Stinger au milieu des années 1990, rivalise avec la totalité des liquidités des dons du gouvernement américain pour des raisons humanitaires d’assistance en Afghanistan au cours de ces dernières années. Les rachats des Stinger peuvent avoir amélioré la sécurité aérienne, mais ils ont aussi donné des liasses d’argent aux chefs de guerre qui ont détruit les villes d’Afghanistan”. Incroyable gabegie ! Inadmissible gestion ! On a enrichi les chefs de guerre en leur rachetant ce qu’on leur avait offert ! Inepte !
Mieux encore, en mai 2006,l’ineffable Lieutenant General retraité et manipulateur Hameed Gul enfonçait le clou en rappelant sournoisement aux USA que „le Pakistan n’avait pas fourni à l’Iran des missiles Stinger et que seulement 35 s’y étaient retrouvés, mais par erreur”… jouant sur le rôle qu’avait tenu le Pakistan et ses services spéciaux dans le retour des missiles égarés, ou laissant entendre que l’ISI aurait pu s’en garder. Juste assez, en quelque sorte, pour en démonter un bon tiers et les examiner à la loupe pour en faire des copies… une sortie qui revenait en écho le 28 juillet dernier avec les documents de Wikileaks qui montraient qu’effectivement des talibans avaient tiré soit des Stingers soit des SA-7s russes, des HN-5 chinois, (tous classés dans la catégorie des MANPADS ou „Man-portable air-defense systems”) en tout cas des missiles qui ont bel et bien abattu des hélicoptères, notamment un Chinook. Des „manpads” qui peuvent se retourner contre les propres avions de Victor Bout : il est fort probable que l’Ilyushin Il-76 (EW-78849) de TransAVIAexport Airlines qui s’est écrasé à Mogadiscio, en, Somalie, le 23 mars 2007, ait été atteint par un de ces engins. En fait, Gul ressortait un texte imprimé dans le numéro du 17 octobre 1987 du New-York Times. Celui indiquant à peu près les mêmes chiffres de Stingers „perdus” : une trentaine. Survenue en juin 87, avec une patrouille de mudjahidines conduite par Yunus Khalis(du Hezb-i-Islami) , qui, pour se rendre dans la province de Nimruz ont fait un détour… par l’Iran où ils sont tombés en panne d’essence. Et ont été faits prisonniers et leurs engins saisis. Les USA „amis”les avaient alors réclamés diplomatiquement… sans les obtenir en définitive semble-t-il… les Stingers n’avaient pas été „envoyés” à l’Iran, ils y étaient arrivés par mégarde. Khalis, après avoir versé taliban, serait mort au Pakistan le 19 juillet 2006. En 2009, épilogue de l’affaire des Stingers (du moins on l’espère !) un „complot” est déjoué aux Etats-Unis : un américain a réussi à acheter un des ces Stinger, qui se révèle être inopérant, el FBI a tout pisté depuis le début (a-t-il rendu l’engin inopérant avant sa livraison, on ne peut le dire). On craint en tout cas pour une attaque civile… mais on se rappelle de ce qui a dû se passer en Afghanistan, et que la censure militaire a refusé de reconnaître, ce que Wikileaks a révélé : des missiles du type Stinger ont bien été tirés contre des hélicoptères US ou de la coalition. „Une autre explication possibleest tout simplement que les Stingers et les autres missiles tirés à l’épaule ont été utilisés par des militants islamistes, mais contre des cibles militaires américains plutôt que des civiles. En Afghanistan et en Irak, les rapports sur les causes exactes d’accidents d’hélicoptère ou en jet sont difficiles à trouver. Dans une récente note sur le blog du Washington Post, le colonel Lawrence Wilkerson, qui a été chef de cabinet de l’ancien secrétaire d’Etat Colin Powell, a suggéré que 200 000 soldats américains en Irak et en Afghanistan „présentent un bien plus grande cible pour Al-Qaïda que la patrie des États-Unis. „Il est certainement possible que des missiles tirés à l’épaule ont fait quelques-uns des près de 5 000 morts américains dans cette guerre”, reconnaît enfin le New-York Times le 22 mai 2009. Combien y-a-t-il encore de Stingers dans la nature, et sont-ils encore opérants, on n’en sait strictement rien !
[…] ohanesian-episodul 6 , ohanesian-episodul 7 , ohanesian-episodul 8 , […]